Atlas

COMPETENCES

Lutte, Militaire

VOCATION

Soldat

PERSONNALITE

Erik se considère comme un homme de chaîne de commandement, et c'est exact. Il est doué pour prendre des ordres et a besoin de direction de la part d'une personnalité plus dominante. Il accorde une grande importance à la loyauté et pense qu'il a été contraint de trahir le Baron Zemo lors de la bataille finale des Thunderbolts, lorsque sa dette envers Zemo a été supplantée par son désir de protéger Jolt. Depuis, il a réalisé que sa loyauté appartient vraiment à l'équipe.

HISTOIRE

Depuis ses débuts en tant que petit criminel, Erik semblait destiné à la méchanceté. Son corps a été à la fois technologiquement et magiquement altéré au fil du temps à un tel point qu'il est finalement devenu similaire à Wonder Man, doté de pouvoirs bioniques, et n'était plus vraiment humain. En tant que Goliath (et plus tard Power Man), Erik a travaillé avec plusieurs équipes de super-vilains, y compris les quatrièmes Maîtres du Mal, dirigés par le Baron Zemo. Après cela, Goliath a été abandonné dans la dimension de Kosmos et torturé par les extraterrestres insectoïdes qui s'y trouvent.

Sauvé par Zemo et Techno, Erik sentait qu'il devait une loyauté totale au Baron. Cependant, alors que les Thunderbolts commençaient leur charade d'héroïsme, Atlas a trouvé deux nouveaux éléments dans sa vie qui ont mis à l'épreuve son serment. Tout d'abord, il a commencé une relation avec Dallas Riordan, le liaison du bureau du maire de New York avec les Thunderbolts. (Maintenant que sa véritable identité a été révélée, il semble peu probable que Dallas puisse pardonner sa tromperie.) Deuxièmement, Atlas a formé un attachement avec le plus jeune Thunderbolt, Jolt, car elle lui rappelait sa jeune sœur décédée des années auparavant. C'est ce dernier attachement qui a poussé Atlas à "trahir" Zemo ; il a sauvé la vie de Jolt lorsque le Baron aurait pu la tuer.

Une grande partie de l'altération autrefois effectuée sur le corps d'Erik a disparu, le laissant à nouveau humain. Il a choisi de garder le nom d'"Atlas", indiquant où se trouvent ses véritables convictions.